Courir un 10km à trois semaines d’un marathon, ce n’est pas très conventionnel. Mais tu le sais, les cadres très rigides et les entraînements trop stricts en course à pied, ce n’est pas trop mon truc.
Bête de course donne la parole à d’autres duos mordus de canicross, qu’ils soient simples amateurs ou compétiteurs, anonymes ou plus connus. Cette semaine, zoom sur le trio Léa, Laïka et Lou.
Courir, c’est prendre du plaisir. Beaucoup de plaisir. Mais c’est aussi se prendre la tête parfois. Je t’avais déjà fait part de mes légères tendances psychorigides sur les réseaux sociaux. Ce n’était que la partie immergée de l’iceberg. Je ne suis pas aussi toquée que Nadal mais j’ai moi aussi quelques rituels et manies qui ponctuent ma vie de coureuse.
En dehors du running et du canicross, j’ai une autre passion, tout aussi dévorante : les chats. J’avais promis de ne jamais en parler ici (c’est une drogue dure, quand je commence je ne m’arrête plus) mais aujourd’hui je suis un peu obligée car la nouvelle activité dont je vais te parler… consiste à courir avec son chat ! Oui oui, tu as bien lu, j’ai testé le caticross et je vais te délivrer quelques conseils pour t’éclater avec Minou.
Courir vite ou bien ne suffit pas pour se lancer en compétition de canicross. Contrairement aux apparences, c’est un sport assez technique qui requiert une grande complicité avec son chien (jusque là tout va bien) mais aussi une grande maîtrise de lui.
Bête de course donne la parole à d’autres duos mordus de canicross, qu’ils soient simples amateurs ou compétiteurs, anonymes ou plus connus. Cette semaine, zoom sur Margot et Loxen.
Runamande, ça vous dit quelque chose ? Un blog running et lifestyle plein de fraîcheur et de tendresse à travers lequel Margot partage son expérience de sportive, ses humeurs et son quotidien avec son adorable Beagle.
Peur d’avoir un rythme faussé, de ne pas pouvoir me concentrer sur mes propres sensations et allures, de devoir m’arrêter trop souvent au risque de ne plus être capable de tenir 1h (ou plus) d’affilée… Lorsque j’ai débuté mon plan d’entraînement pour mon premier marathon, j’ai dans un premier temps choisi de ne pas emmener Lupo avec moi. Je suis une runneuse avant d’être une canicrosseuse, pas question de mettre mes objectifs personnels de côté ou de prendre le risque de foirer une course.
Je suis une éternelle indécise. Pizza ou burger ? Rouges ou noires les chaussures ? Beige ou marron le sac ? Pour ma deuxième course de l’année, même dilemme : 5 ou 10km ?
Bête de course donne la parole à d’autres duos mordus de canicross, qu’ils soient simples amateurs ou compétiteurs, anonymes ou plus connus. Cette semaine, zoom sur Chloé et Maïa.
Je me suis mise au canicross un peu par contrainte, pour empêcher Lupo d’aller courser les poules d’eau et les chats lors de nos sorties en libre. Le jour où il a chopé un chaton (que j’ai réussi à sauver in extremis grâce à un sprint façon Usain Bolt), je me suis dit « Stop mon coco, la fête est finie ».