« Allaiter ça fatigue », « allaiter c’est contraignant », « allaiter ça t’empêche d’avoir une vie sociale / sportive », « faire du sport va diminuer la qualité / quantité de ton lait »… Faux, méga faux, archi faux ! Si comme moi tu as choisi d’allaiter, tu as dû entendre un sacré paquet de conneries comme celles-là… Pourtant nourrir son bébé au lait maternel tout en continuant à courir, c’est bien évidemment possible, même si ça demande, je le reconnais, quelques petits ajustements.
Après de longs mois d’attente, te voilà enfin maman ! Pleine de bonnes résolutions et motivée à dégommer tes derniers kilos de grossesse, tu te décides à rechausser tes baskets après plusieurs mois d’arrêt mais là c’est le drame : bouffées de chaleur, jambes lourdes, souffle coupé… au bout de 500 mètres, tu as l’impression que tu vas crever, là, au bord de la route.
Ca fait parfois sourire, jaser ou carrément bondir… Peu importe ! Une chose est sûre, ça fait vraiment du bien alors pourquoi s’en priver ? Si ton état de santé et celui du bébé le permettent, il est tout à fait possible de continuer à courir pendant ta grossesse, à condition d’en
Boule au ventre, coeur serré, cauchemars, palpitations ou carrément nausées (oui oui !)… Le stress d’avant course, je connais ! Quel que soit l’objectif ou la distance, c’est toujours la même rengaine, j’ai l’impression de faire un bond de 15 ans en arrière et de repasser mon bac. À J-3 de mon prochain marathon, je suis d’ailleurs dans des conditions « idéales » pour écrire cet article. Si comme moi tu es un grand nerveux, pas de panique ! Avec ces quelques astuces, tu devrais pouvoir aborder tes prochaines compétitions plus sereinement.
Peur d’avoir un rythme faussé, de ne pas pouvoir me concentrer sur mes propres sensations et allures, de devoir m’arrêter trop souvent au risque de ne plus être capable de tenir 1h (ou plus) d’affilée… Lorsque j’ai débuté mon plan d’entraînement pour mon premier marathon, j’ai dans un premier temps choisi de ne pas emmener Lupo avec moi. Je suis une runneuse avant d’être une canicrosseuse, pas question de mettre mes objectifs personnels de côté ou de prendre le risque de foirer une course.
Le 8 mai 2017, je prenais le départ de la Route du Louvre qui relie Lille à Loos-en-Goelle. Une course que j’appréhendais beaucoup moins que mon premier marathon puisque j’avais déjà une expérience (plus que positive) sur la distance. Et aussi parce que mes cousins Chtis sont sympas…
S’il n’y avait pas la raclette pour accompagner cette saison, je crois que je n’y survivrais pas. Nez qui coule, yeux qui pleurent, mains et pieds gelés, lèvres gercées, joues rouges… Tous ces symptômes me font détester l’hiver.
Tu as décidé de perdre du poids, de te lancer un défi ou simplement de te remettre en forme. Tu as bien sûr le feu vert de ton médecin et tu es chaud patate pour démarrer la course à pied. Avant de t’élancer, te je conseille de respecter ces quelques points si tu ne veux pas abandonner au bout de trois séances.
Je suis une trouillarde. Il m’est impossible de fermer l’oeil quand je suis seule chez moi le soir, de prendre l’avion ou de monter sur une échelle (te moques pas, je suis sûre que tu as peur des souris). Quand je cours, il m’arrive souvent d’avoir peur aussi